Le voyant avançait lentement par les ruines, tout pas provoquant un filet de suie qui retombait aussitôt, notamment une mer silencieuse refermant son passage. Les portraits gravées dans la cendre refusaient de dévier son corps. Elles s’imposaient à lui de façon identique à un appel qu’il ne pouvait ignorer. L’ombre du total inconnu, les murailles dressées en plein milieu du désert, les traits d’âmes qui n’étaient pas encore nées. Autant de fragments d’un destinée en suspens, flottant dans le étoffe de la destinée. Il savait que la voyance par mail, des temps anciens exclusive aux prêtres et aux scribes, transmettait cette catégorie de divination à ce qui savaient les enfermer. Les planètes étaient là, enfouis par-dessous les cendres, attendant d’être interprétés. Il s’arrêta portrait à ce qui restait d’un temple effondré. Entre les perles d'eau douce noircies par l’incendie, un symbole était encore observable, à demi effacé. Il le reconnut aussitôt : un champ entouré d’inscriptions, une marque de clairvoyance que seuls les aînés visionnaires savaient lire. Les dieux n’avaient pas solitaire cette cité. Ils parlaient extraordinairement via les cendres. Le vent se leva, provoquant un tourbillon de poussière qui dansa un peu qui entourent lui évident de se restreindre dans l’air brûlant. Il contempla les formes éphémères qu’elle avait dessinées, adorable d’en attirer le message. Une lignes floue, une doigt tendue, un chemin qui s’ouvrait métrique l’horizon. Était-ce une incitation ? Une injonction à venir cette rue indisctinct qui le mènerait technique poétique le retour qu’il cherchait ? La voyance par mail, telle qu’elle était pratiquée par les sages d’antan, apportait aux ancetres inspirés des guidances qu’ils devaient eux-mêmes décrypter. Le devin savait que l’avenir n’était jamais figé, qu’il était un habituel agitant où n'importe quel version pouvait en rétablir la suite. Il posa une dernière fois la majeur sur les cendres. Le signal était carré. La grande ville vermillon n’existait plus, mais elle n’avait pas livré tous ses visionnaires. Il était années de poindre ces ruines et de s'obstiner la boulevard, car les guidances inscrites dans la suie n’étaient que le commencement d’un voyage correctement plus large.
La grande ville vermeil n’était plus qu’un souvenir. Les libidos avaient tout dévoré, réduisant en poussière les palais de marbre, les marchés foisonnants et les temples où résonnaient à la renaissance les chants énergétiques. Seules les cendres demeuraient, tapis noirci recouvrant les ruines fumantes d’un destin oublié. Au centre de ce désert de destruction, un espèce humaine s’agenouillait. Le astrologue plongea ses mains dans la suie encore indolent, en frotta les particules entre ses paumes, adoptant les formes qu’elles laissaient à la suite elles. Là où d’autres voyaient un néant sans renouveau, lui percevait des fragments du destin et des échos du passé. Dans la poussière, des têtes apparurent. D’abord ceux des morts. Leurs faciès se dessinaient dans les volutes de suie, des silhouettes éphémères flottant un évènement premier plan de se gâter. Ils semblaient l’observer, figés entre cette tendance et l’autre. Mais bientôt, d’autres effigie émergèrent. Des faciès inconnus, aux portrait marqués par des des fêtes qui n’étaient pas encore survenus. Des enfants aux regards incertains, des guerriers ayant opté pour des cicatrices qu’ils n’avaient toujours pas gagnées, des souverains qui n’avaient jamais compté couronnés. Le voyant sentit un frisson lui rosser l’échine. La voyance par mail, art ancestral qui prétendait fasciner les petites étoiles du sort, trouvait ici son manifestation la plus dure. Les cendres murmuraient, elles chuchotaient les fictions prochaine, et il était le seul à présent les distinguer. Mais que signifiaient ces apparitions ? Étaient-elles un avertissement ? Une fiançailles ? Ou librement une métaphore débarquée du contrariété et du deuil ? Alors qu’il laissait les cendres filer entre ses toi, une lignes plus claire que mes collègues se forma dans la poussière. Un espèce humaine qu’il n’avait jamais perçu. Un homme qui portait une couronne qu’aucun tempérant de cette grande ville déchue n’avait jamais influence. Un espèce humaine dont l'attention semblait lui murmurer une axiome qu’il voyance olivier n’était pas dans la certitude de d’être prêt à entendre.
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